Le temps, c’est de l’argent

C’est facile de remettre à plus tard la décision d’investir. Souvent, les gens croient le-pouvoir-de-la-capitalisationque s’ils n’ont pas assez d’argent à placer maintenant, ils devraient attendre d’en avoir d’avantage. Or, l’une des meilleures façons d’accumuler des capitaux est de commencer tôt, et ce même si l’on ne peut cotiser qu’une somme négligeable.

Jean verse cotisations annuelles de 5 000$ et bénéficie de 8% chaque année.
Il interrompt ses cotisations après 10 ans, et conserve son placement pendant 10 ans de plus, au taux de rendement annuel de 8%.

Suzanne verse 10 cotisations annuelles de 10 000$ et bénéficie d’un taux de rendement annuel de 8%.

Même si elle a investi deux fois plus d’argent que Jean, elle aboutit avec moins d’argent que lui, car elle a commencé plus tard et conservé son placement moins longtemps.

Donc, plus on investit tôt, plus le montant du capital a le temps de s’accroître et de bénéficier du pouvoir de la capitalisation.

Vous payez mais êtes-vous vraiment assuré ?

Vous payez mais êtes-vous vraiment assuré ?

Malgré le fait que vous payez des primes d’assurance sur votre prêt personnel, prêt hypothécaire, marge de crédit, prêt ou location automobile, cela ne signifie pas pour autant que vous êtes réellement assuré.
En fait, avec une institution financière, vous pouvez vous protéger en cas de décès, maladie grave ou en invalidité. Votre protection servira à rembourser l’institution prêteuse, du solde restant de l’hypothèque ou faire les versements mensuels durant votre invalidité. Vous aurez alors un « certificat » d’assurance.
Avec une compagnie d’assurance, vous aurez un « contrat ».
Voici le comparatif :
Compagnie d’assurance :

  • Une assurance détenue dans un contrat d’assurance dont vous êtes propriétaire
  • Protection fixe et non décroissante selon le solde hypothécaire
  • Vous n’avez pas à vous soucier de votre protection si vous changez d’institution bancaire
  • Le prix est fixe pour la durée du prêt et n’augmentera pas avec l’âge
  • Toutes les questions de santé sont posées au départ et non lors d’une réclamation
  • Vous choisissez votre bénéficiaire
  • En invalidité, vous pouvez vous couvrir dans un contrat garanti pour la durée du prêt

Institutions financières :

  • Vous n’êtes pas propriétaire, donc l’institution peut mettre fin à votre protection sur simple avis écrit
  • Votre assurabilité n’est vérifiée qu’au moment de la réclamation, après le décès ou votre invalidité
  • L’institution est seule bénéficiaire
  • Le prix de l’assurance augmente à chaque renouvellement et votre protection est décroissante selon la balance de votre prêt
  • Votre refinancement entraîne une nouvelle demande d’adhésion et peut aussi se solder par la perte d’assurabilité
  • La définition et les prestations d’invalidité ne sont bonnes que pour 12 ou 24 mois. Par la suite, vous devez être incapable d’effectuer tout travail rémunérateur afin d’être protégé.

Assurance sans examen médical

Assurance sans examen médical

Vous est-il déjà arrivé qu’une assurance vie, maladies graves (cancer, AVC, crise cardiaque) ou invalidité vous soit refusée?
L’assurance sans examen médical est destinée aux personnes qui, pour des raisons médicales ou autres, éprouvent des difficultés à souscrire un contrat :

  • d’assurance maladies graves (cancer, AVC, crise cardiaque
  • d’assurance invalidité (assurance salaire)
  • d’assurance vie

Pour souscrire ? Pas d’examen médical, vous devez simplement répondre à six questions
d’admissibilité. Vous êtes protégé immédiatement dès la réception de votre demande chez l’assureur.

Recevez jusqu’à 100 000 $ à la suite du diagnostic d’un cancer, d’une crise cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d’un pontage aorto-coronarien.

Un accident ou une maladie vous empêche de travailler, nous vous verserons jusqu’à 2 500 $ par mois pour couvrir votre perte de salaire.

Jusqu’à 300 000 $ versés à vos bénéficiaires à la suite d’un décès.

Une assurance maladie grave avec prime remboursable

Une assurance maladie grave avec prime remboursable

L’assurance en cas de maladie grave vous procure un versement forfaitaire à la suite d’un diagnostic d’une maladie grave. Vous pouvez obtenir le remboursement de toutes les primes payées, en cas de décès, si vous n’avez pas bénéficié du paiement de la prestation et que vous avez souscrit à cette option.
Elle vous permet de vous consacrer à 100 % à votre rétablissement, sans vous préoccuper des impacts financiers causés par la maladie

  • Vous obtenez un versement forfaitaire libre d’impôt, 30jours après le diagnostic d’une maladie grave. Ce versement peut être utilisé de la façon dont vous le désirez, sans aucune restriction.
  • Vos primes et vos protections sont garanties, renouvelables tous les 10 ans ou 20 ans ou nivelées jusqu’à l’âge de 75 ans ou à vie.
  • Vous pouvez bénéficier d’une protection de 10 000 $ à 2 millions.
  • Vous pouvez racheter votre assurance et obtenir un remboursement de vos primes.

Les 5 principaux risques financiers à la retraite

Les 5 principaux risques financiers à la retraite

Si vous avez pris votre retraite ou êtes sur le point de franchir le pas, vous faites face à un défi de taille : tirer de votre régime de retraite et de vos économies les revenus dont vous avez besoin, sans savoir pour quel horizon temporel vous devez planifier. Si vous ne choisissez pas judicieusement vos placements ou dépensez excessivement, vous pourriez épuiser prématurément votre capital.
Connaître les cinq principaux risques
Cinq risques majeurs peuvent compromettre la sécurité financière d’une personne retraitée. Apprenez à les gérer afin de bénéficier d’une retraite sans souci.
1. La longévité
Au Canada, les hommes et les femmes vivent plus longtemps que jamais – et nombre de gens sous-estiment la durée possible de leur retraite.
Que faire?

  • Lors de la planification de vos revenus de retraite, prévoyez que vos économies devront durer 20, 30 ou même 40 ans.

2. L’inflation
Ne vous laissez pas aveugler par la faiblesse récente de l’inflation. Ce facteur doit toujours être considéré. Imaginons que vos économies initiales sont d’environ 46 000 $. Même un taux d’inflation très faible de 2 % diminuera votre pouvoir d’achat année après année. Après 25 ans, vos économies vaudront environ 28 000 $, soit une baisse de 39 % de votre pouvoir d’achat.
Que faire?

  • Incorporez à votre portefeuille des placements susceptibles de croître plus rapidement que le taux d’inflation.

3. Une combinaison d’actifs inappropriée
De nombreux retraités optent pour un portefeuille « sécuritaire » composé en grande partie de titres à revenu fixe tels que les obligations et les CPG.

Or, à long terme, ces placements pourraient ne pas s’apprécier suffisamment pour vous permettre de faire face à la hausse du coût de la vie.
Que faire?

  • Constituez un portefeuille modéré qui établit un juste équilibre entre le potentiel de croissance des actions et les revenus stables associés aux obligations, aux CPG et aux instruments du marché monétaire.

4. Les retraits excessifs
Jusqu’à tout récemment, de nombreux retraités comptaient sur des retraits annuels représentant 7 % ou 8 % de leurs économies, ou même davantage. Les rendements élevés des marchés boursiers, de 1982 à 2000, rendaient cela possible.

Dans le contexte économique actuel, vous devriez prévoir un taux de retrait annuel indexé en fonction de l’inflation d’environ 4 %. Si vous dépassez ce pourcentage, vous risquez d’épuiser prématurément votre capital.
Que faire?

  • Gérez très rigoureusement votre taux de retrait pendant les
    premières années. Moins vous retirerez, mieux cela vaudra. Si votre portefeuille dégage un bon rendement, vous pourrez retirer davantage plus tard, quand le risque de manquer d’argent à la fin de vos jours aura diminué.
  • Envisagez divers moyens de réduire vos retraits. Vous pourriez par exemple éliminer des dépenses superflues ou travailler à temps partiel.

5. Les coûts des soins de santé
Même si le système canadien d’assurance-maladie fournit des soins de base de bonne qualité, il ne couvre pas plusieurs éléments dont vous pourriez avoir besoin à un âge plus avancé. Notamment, le régime public exclut totalement ou partiellement les soins à long terme, les soins à domicile, les chambres d’hôpital privées ou semi-privées et les rénovations domiciliaires visant à faciliter la vie d’une personne invalide.
Que faire?

  • Tenez compte des coûts des soins de santé lors de l’élaboration de votre plan de retraite.
  • Économisez davantage et souscrivez une assurance afin de jouir d’une plus grande tranquillité d’esprit et d’élargir la gamme d’options qui s’offrira à vous dans le futur.